Eau, Energétique, Médecine holistique, Thérapie, Thérapie aquatique

Au cÅ“ur de l’eau par le Docteur Guy Londechamp

eau quantique
eau quantique

EAU est au cœur de chaque forme de la nature; elle sous-tend les relations entre tous les règnes, tous les individus de chaque règne, toutes les parties de chaque individu, c’est-à-dire qu’elle est le médium incontournable d’une approche systémique et intégrative de la santé.

De plus, elle constitue 65 à 70 % de notre corps, et 85 % de notre cerveau.

L’état sanitaire et écologique de notre planète est désastreux, découlant d’une pollution majeure et multiple associant les dérivés du pétrole et de l’atome, les médicaments, les déchets industriels et militaires, les produits «sanitaires» utilisés en agriculture, …et toute la gamme d’ondes électromagnétiques occupant tout le spectre connu. Les interactions entre les différentes sources de pollution créent un chaos extrêmement toxique et très difficile à étudier, une sorte de «glu» dont personne ne peut se croire protégé.

Les signes d’alerte concernant les eaux de surface et les nappes souterraines sont alarmants, et faciles à relier à la dégradation générale de la santé des populations (cancers, Parkinson, Alzheimer, stérilités et malformations génitales…). Face à ce constat terrible, on peut se tourner déjà vers les sources naturelles préservées, mais la conservation de longue durée dans des bouteilles, à fortiori en plastique, exposées au soleil ou à des nuisances environnementales particulières (bruit, micro-ondes, courants pulsés) altère les qualités naturelles de la source… et les plastiques libèrent des phtalates dont on sait la toxicité neuro-endocrinienne et immunitaire.

Comment être sûr de la qualité vitale de l’eau de source dans le temps, de son action chimique et physique sur la santé humaine, sachant que plus l’organisme est jeune, donc riche en eau libre, et plus l’effet de cette eau sera important ?

On se souviendra au passage qu’il ne s’agit pas seulement de se soucier de l’eau de boisson , mais aussi de l’eau de douche et de bain (on absorbe aussi par la peau et les muqueuses), et de celle qu’on utilise pour laver les légumes ou préparer la soupe… puis de l’eau des ruisseaux et rivières, et des océans où toute cette pollution s’accumule sans cesse.

L’eau est le seul élément existant simultanément dans 3 états différents (solide, liquide et gazeux) en interaction permanente à travers des changements de phases dépendant des conditions climatiques et environnementales. Dans ces interphases, l’eau change sa structure physique interne et acquiert ou perd des qualités particulières associées aux éléments et informations dissous, et qui façonnent les agencements des molécules d’eau (= clusters); exemples : la rosée, l’orage, les cascades, l’évaporation, la glace, la neige…

1) LA FILTRATION CHIMIQUE ET MÉCANIQUE

Les aspects chimiques de ces qualités de l’eau ont été bien étudiés en France par le physicien Louis-Claude Vincent. Ses travaux montrent une corrélation étroite entre les paramètres mesurés dans l’eau (pH, rH2, résistivité dans la salive, le sang et l’urine) et l’état de santé des populations humaines et de la nature. (cf. Bioélectronique de Vincent dans la rubrique « Quelle eau boire »)

La plupart des appareillages d’épuration travaillent par filtration et adsorption, avec des niveaux de performance plus ou moins élevés, l’obligation d’utiliser des filtres spécifiques à changer périodiquement selon les toxiques visés, et la nécessité d’un contrôle régulier pour détecter tôt le moment de saturation des filtres et leur remplacement. On comprendra aisément que ces appareils demandent un profilage technique adapté à l’eau qu’on veut épurer, et qu’il faille déjà faire un bilan de départ de cette eau pour surveiller ensuite l’efficacité de la filtration sur les paramètres « phares » : par exemple nitrates, pesticides, aluminium ou arsenic, médicaments, phtalates ou PCB, radioactivité…

On se souviendra que les paramètres toxiques visés par la filtration ne disparaissent pas de l’environnement, mais qu’ils sont seulement dérivés vers une substance adsorbante inerte qui l’attire comme un aimant et qu’il faudra ensuite retraiter (une fois saturée) dans un autre système d’épuration collective ou d’incinération, ou qu’ils sont redirigés sous forme active par un filtre ou une série de filtres en auto-nettoyage reverse dans les collecteurs d’égouts et les rivières les plus proches. Néanmoins, cette méthode reste indispensable dans un premier temps pour préserver la santé humaine et animale, en attendant que notre conscience écologique soit un peu plus développée.

Une alternative existe au relargage direct dans le milieu naturel par le biais des bassins de phytoépuration avec bambous et roseaux, capables de tamponner et sans doute de modifier la structure des polluants; ils permettent aussi de surveiller les marqueurs de pollution à la sortie des bassins et de susciter réflexions et travaux de recherche pour aider la nature et moins polluer en amont.

On se référera à l’excellente synthèse sur ces différentes méthodes faite par Stéphane Rolli (directeur de la société « Confort et eau ») jointe dans cette rubrique également.

Enfin, comme l’eau délivrée à nos robinets est légalement considérée comme potable (parfois au prix d’un artifice administratif multipliant par 5 du jour au lendemain le taux acceptable de pesticides), chacun peut ensuite choisir d’aller plus loin en termes d’exigence de salubrité, ou pas.

2) LA PHYSIQUE DE L’EAU

Les aspects physiques ont surtout été étudiés par les physiciens russes (cf. le film Water aux éditions Jupiter) mais aussi en Europe par nos voisins allemands et autrichiens (Schauberger, Plocher, et surtout Alexandre Lauterwasser : voir le film remarquable sur son travail Images sonores d’Eau diffusé par les éditions Alternature). Ils montrent que la capacité de l’eau à stocker de l’information est immense et durable, et que l’information contenue dans l’eau est plus importante que la chimie dans les effets sur le vivant.

Selon Marc Henry (professeur de physique quantique à l’université de Strasbourg et spécialiste de l’eau), notre ADN ne fonctionne pas sans eau dans les modélisations mathématiques; et les capacités «mémorielles» de l’eau sont telles que l’ADN d’un être humain pourrait être contenu dans une goutte d’eau, et celui de l’humanité dans quelques litres… De plus, la durabilité de l’empreinte informationnelle dans l’eau peut être suffisamment longue pour être dangereuse pour la santé des populations, puisqu’elle peut transmettre des maladies infectieuses même en étant stérilisée par les moyens techniques habituels avant d’être distribuée collectivement .

Les travaux du professeur Luc Montagnier (prix Nobel de médecine et co-découvreur du virus du s.i.d.a.) exposés fin 2007 à Lugano le montrent clairement, et valident tout le travail préalable de Jacques Benveniste sur la «mémoire de l’eau» qui avaient été vilipendé par la communauté scientifique de l’époque.

Les physiciens nous disent que l’eau est un milieu quantique en interrelation avec tous les constituants et aspects de son environnement. Chacun a le droit d’y accorder de l’importance ou non…

Dans une approche systémique du problème posé par l’état actuel de l’eau considérée comme un tout interactif, tout ce que nous allons mettre en Å“uvre à l’échelle locale aura un impact général sur le système tout entier. Si l’eau conserve après filtration mécanique la mémoire de tout ce qu’elle a contenu ou rencontré, et imprimé en elle sous forme de clusters, on peut y retrouver le courant 50 Hz de nos maisons, les émissions des ordinateurs et micro-ondes, la wifi, la musique et les ondes « psy »… en plus des effets déstructurants liés aux angles de nos conduites d’eau (90 ° en général). L’ensemble représente « la bande passante de l’eau ».

La « glu » informationnelle est donc toujours présente, et certains physiciens – comme l’académicien russe Kaznacheev – prétendent que « les hautes dillutions » de substances sont les plus dangereuses (ce que disait aussi Rudolf Steiner, un clairvoyant du siècle dernier). Ça n’étonne pas les pratiquants de l’homéopathie depuis un siècle, mais comment faire disparaître ou modifier cette mémoire de l’eau liée à l’agencement de ses clusters ?

– en premier lieu en chauffant l’eau jusqu’à 70 °C, car elle relargue toute son information à cette température.

– ensuite en utilisant des vortex, des tourbillons et des obstacles (angles) dont la géométrie est choisie pour modifier l’agencement interne des clusters; ces formes génèrent des champs de torsion statiques et dynamiques, appelés aussi champs scalaires ou morphogénétiques (voir le dossier sur les champs de torsion ) capables de ré-informer l’eau et de la coupler avec la conscience.

Рon peut aussi utiliser des champs magn̩tiques (aimants), des sons et fr̩quences, des formes complexes, des min̩raux et cristaux.

Рmais aussi la force de la pens̩e et de la pri̬re, les chants et la musique.

En somme, il y a beaucoup de moyens et chacun peut trouver le sien par affinité personnelle et niveau d’information. La difficulté est « d’objectiver » le résultat et de vérifier sur le vivant que l’action menée est bien positive, porteuse d’ordre et de santé.

LES MOYENS D’APPROCHE DE LA STRUCTURE DE L’EAU

Trois méthodes accessibles, en dehors des perceptions directes de l’effet par des aptitudes sensitives individuelles (qu’on ne peut traduire en images et schémas) :

1) « les cristallisations sensibles » qui permettent d’objectiver les « forces formatrices » à l’œuvre dans l’eau et la nature, et donc dans toute substance utilisée comme aliment ou médicament.

2) la caméra GDV du Dr Constantin Korotkov qui permet d’analyser les émissions photoniques des extrémités des mains, et de reconstruire des images correspondant aux circuits d’énergie du corps (méridiens d’acupuncture, chakras, « aura »…).

3) aussi la méthode du Dr Masuru Emoto qui permet d’observer sur des cristallisations de glace (congélation ultrarapide) l’effet de la musique, d’émotions, de pensées sur la structure interne de l’eau, et aussi sur le vivant, l’harmonie des cristallisations de glace (structure hexagonale) reflétant la qualité de l’information transmise à l’eau.

Mais on peut aussi développer des outils de mesure fréquentielle des molécules dissoutes dans l’eau (toutes les molécules vibrent) ou de leur trace résiduelle sous forme de clusters d’eau, avec analyse informatique (transformées de Fourier) pour observer les modifications structurelles de l’eau après traitement par une méthode particulière. Le travail de Jacques Benveniste relayé actuellement par le professeur Luc Montagnier va dans ce sens : il débouche sur une approche informationnelle et scientifique de la notion de terrain et sur la modulation de ce terrain par des moyens physiques (fréquences, champs magnétiques et de torsion…) peu coûteux .

Dans le cadre d’une distribution d’eau de ville ou de source à grande échelle, pouvoir démontrer que cette eau conserve ses qualités natives, émergentes de sa zone de captage, et qu’elle ne porte ni toxiques ni informations perturbantes même après une période longue de stockage (tests à faire sur 1 mois, 3 mois, voire 6 mois) serait déjà un concept novateur remarquable. Car une excellente eau de départ peut s’altérer facilement si sa structure interne (clusters) est instable et si son environnement de mise en bouteille et de distribution est perturbant. Dans la nature, l’eau reste vivante grâce aux vortex et tourbillons.

Il a été établi expérimentalement que les objets présentant une section dorée (PHI) peuvent être décrits en tant que générateurs de torsion passifs. Utiliser un système à vortex construit selon la géométrie sacrée et le nombre d’or (très liés aux champs de torsion de la nature et de notre ADN, de notre conscience aussi selon le physicien russe Kosyrev) et capable de générer dans l’eau des trains d’onde stables et durables conformes aux processus de nature, pourrait optimiser le rayonnement et la vitalité de cette eau, et agir pour la santé globale.

LES EXPÉRIENCES MENÉES AVEC LE GÉNÉRATEUR DE VORTEX « VODA »

Nous travaillons depuis 5 ans sur ce thème avec des modélisations successives et tests cliniques permanents, cristallisations sensibles et images Korotkov. Les résultats sont suffisamment probants pour qu’on ait engagé le construction en série de ces prototypes « VODA », qui sont disponibles depuis mi- 2013.

En clinique, je peux observer les effets énergétiques d’un seul verre d’eau informée dans l’équilibre d’une personne venant en soins (ceci depuis plus de quatre ans). Il faut moins de 30 secondes pour que le changement apparaisse à travers la prise des pouls et la grille de lecture sur quatre niveaux d’organisation que je pratique depuis plus de 30 ans, changement variable en intensité selon l’état du terrain et l’altération psycho-biologique.

Source : http://vodaflor.com/crbst_7.html

Partager
Revenir à l'accueil du blog