Energétique

L’eau et l’énergie : la voie sacrée de l’eau

EAU et radiesthésie, sa teneur en composants du champ magnétique terrestre et son Taux Vibratoire

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Sans vouloir vous noyer sous des évaluations émanant de chercheurs compétents, sachez tout de même que les océans contiennent 1.363 millions de KM3 d’eau salée, que les pôles sont recouverts de 30 millions de KM3 de glace et que la quantité d’eau douce est estimée à 7 millions de KM3.
Le total de tout ceci nous donne 1.400 millions de KM3.

Revenons sur ce qui nous intéresse le plus, les 7 KM3 d’eau douce, qui se répartissent ainsi :
5, 985 millions de KM3 en eau souterraine inaccessible
0,665 millions de KM3 dans les nappes phréatiques
0,350 millions de KM3 en eaux de surface sur lesquels l’on considère que seulement 47.000 KM3 sont utilisés par l’homme.

Notons au passage que 1 KM3 représente 1 milliard de M3

LA VIE DE L’EAU

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Nous connaissons tous le circuit effectué par l’eau : évaporation depuis les océans (phase d’épuration), transport des nuages par les vents (phase de revitalisation), puis condensation et retour au sol avec ruissellement et retour aux Océans ou encore infiltration jusqu’à la nappe phréatique.
C’est pendant son cheminement dans les couches des différents sédiments qu’elle va dissoudre certains sels minéraux et devenir EAU MINERALE tandis que celle qui sera recueillie pure s’appellera EAU DE SOURCE .
Personne nous parle de ce que l’eau pendant son séjour aérien sous forme de vapeur engrange comme informations, et pourtant !

MAGNETISME TERRESTRE

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Nous devons aborder le phénomène du magnétisme terrestre pour comprendre les différents changements d’état de l’eau.
Les mesures faites sur l’eau se font essentiellement en observant : sa limpidité – son état (liquide, gazeux, solide) – sa densité – sa température – son pH – son rH2 – sa teneur en sels dissous, en composants chimiques, en bactéries –
Dans notre recherche nous allons ajouter deux autres volets, facilement mesurable par la radiesthésie, sa teneur en composants du champ magnétique terrestre et son Taux Vibratoire !
De la même façon qu’il y a 24 fuseaux horaires, nous mesurons 24 radiations différentes qui constituent le champ magnétique terrestre. Nous pouvons les représenter comme un câble électrique à 24 conducteurs colorés par paires avec 12 couleurs différentes (12 pour les fils positifs et 12 pour les fils négatifs). L’âme en coton que l’on voit dans les câbles se retrouve également dans l’analyse du champ magnétique terrestre : elle est composée de trois vibrations que nous appellerons les trois vitales ( physique- éthérique – mentale).
Curieusement, nous allons nous trouver en présence d’eaux ne comportant rien de ces 27 rayonnements, d’autres qui en contiendront quelques uns (correspondant aux fils de couleur), d’autres qui contiendront toutes les couleurs avec ou sans les vitales, d’autres ne comprenant que les trois vitales.
C’est grâce à cette possibilité de mesurer ces « vibrations » que nous allons maintenant pouvoir différencier les différentes eaux que nous allons rencontrer dans la nature … ou même les modifier à notre convenance !

EAU POTABLE

Drinking water is poured into a glassLes risques et périls rencontrées par l’eau venue du Ciel sont nombreux, nous citerons les plus dangereux – les sulfates : le risque est biologique – la microbiologie : le péril est fécal – les nitrates : le péril est agricole – les pesticides : le péril est agricole, routier et ferroviaire – le plomb : le péril vient de l’agressivité de l’eau sur le conduites – Le remède individuel : le traitement par filtration à osmose inverse.

 

EAU DU ROBINETeau-du-robinet

Nous commencerons par l’observation de l’eau du robinet. A chacune de nos expériences la mettant en cause nous prendrons soin de mesurer à chaque fois :
son état qui sera soit positif, soit neutre
son taux vibratoire qui variera de quelques unités à l’infini
la présence (ou l’absence) totale ou partielle des 23 composantes du champ magnétique terrestre
la présence (ou l’absence) des trois fréquences vitales.
éventuellement, si nous disposons de l’appareillage spécial, nous mesurerons sa teneur de sels dissous en mg par litre.
Nous savons
que nous avons affaire à une eau reconnue potable par les instances départementales de notre lieu de résidence. Que ceci ne nous empêche pas de penser qu’elle contient : du chlore, des chlorates, des sulfates, les cadavres des bactéries détruites par le chlore, etc.
Exemple : l’eau de la ville de MONTPELLIER est positive, son taux vibratoire est de 30 à 40 unités, généralement elle contient deux composantes, aucune vitale et sa longueur d’onde est de 8 mètres.

EAU BOUILLIE

Juste en passant : un mot sur l’eau bouillie qui sera parfaitement stérilisée au point de vue microbien … mais qui au plan de la vie tout court est parfaitement stérile. Ne vous amusez pas à placer un poisson rouge dans de l’eau bouillie, il ne resterait pas vivant bien longtemps !

EAU MINERALE

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Nous disposons grâce aux grandes surfaces d’une grande diversité d’eaux minérales de toutes provenances, dont les teneurs en différents sels sont affichées sur l’étiquette. Dites vous bien que cette qualité d’eau possède un taux vibratoire qui peut aller jusqu’à 1.000, alors que l’eau de la ville varie de 20 unités à 100 ou 120 (c’est ce que j’ai pu mesurer à droite et à gauche lors de mes déplacements).
Il faut s’arrêter un instant pour réfléchir à ce qui parait être une véritable tromperie. En effet, les qualités reconnues à une eau minérale, disparaissent moins d’une heure après leur sortie du griffon.
Pensez que si les qualités d’une eau thermale persistaient vous ne pourriez pas en boire sans limite alors que les prises d’eau lors de cures sont progressives (en partant de quelques cm3) et limitées en durée à 21 jours maximum !
Les animaux, comme les humains sont incapables d’assimiler les minéraux directement.
Il faut passer par l’intermédiaire des végétaux dits « autotrophes ». Les minéraux sont transformés par ces derniers en complexes organométalliques ou oligo-éléments et à ce moment-là seulement ils deviennent assimilables par l’homme (qui lui est « hétérotrophe »).
L’eau est un nettoyeur cellulaire, un draineur lymphatique. Sa fonction n’est pas d’apporter des nutriments, mais de permettre leur digestion et leur métabolisme.

EAU DE SOURCE

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Comme dit plus haut c’est l’eau qui est pure, sans trop de charges minérales. On peut la trouver dans quelques régions (volcaniques de préférence) où le granit ne se laisse pas décomposer par son passage. Son taux vibratoire est facilement de 1.000.
Quelques Auvergnats privilégiés en bénéficient. Que cette appellation ne vous abuse pas. En effet, la pureté des eaux de source rencontrées lors de vos randonnées permet rarement de les classer dans cette catégorie.

EMBALLAGE

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Où sont passés nos emballages en verre ?
Je vous conseille de faire cette petite expérience facile à réaliser en été : achetez une bouteille d’eau (minérale ou de source) contenue dans une bouteille plastique et placez là une nuit dans votre réfrigérateur sans l’ouvrir, à côté d’une tranche de melon. Placez de la même façon une bouteille d’eau du robinet dans une bouteille en verre. Le lendemain la bouteille en plastique, sentira fortement le melon, l’autre NON !

PYRAMIDE

eau-PyramideQui n’a pas entendu parler des effets de la pyramide sur le vin ou sur une lame de rasoir ? Il suffit de construire une pyramide en carton à partir des dimensions respectant les proportions base 1 et arrête 0.9 pour la présenter avec deux de ses côtés parallèles à l’aiguille de la boussole pour disposer d’un engin capable de réaliser les expériences proposées, avec comme résultat la momification d’un petit cube de viande ou le dessèchement d’une tranche de pomme sans aucune trace de moisissure. Que se passe-t-il si l’on place une bouteille d’eau du robinet mesurée à un taux vibratoire d’une trentaine d’unités placée sous la pyramide pendant quelques minutes ? Son taux vibratoire monte à presque 1.000.
Plaçant un plateau porteur d’une vingtaine d’éprouvettes d’eau de la ville et les retirant l’une après l’autre à la cadence de 10 secondes, puis mesurez-les en prenant votre temps et tracez-en la courbe, cette observation vous permettra de vérifier la sensibilité de l’eau au champ magnétique terrestre.

CROMLECH

cromlechVous pouvez faire l’expérience suivante : vous remplissez 7 bouteilles semblables, en verre, d’eau de ville que vous mesurez avant de les placer de façon que l’une soit au centre et les 6 autres autour et se touchant entre elles. Vous entourez cet ensemble avec un lien (ficelle, cravate, élastique, peu importe).
Quelques minutes plus tard vous mesurez le contenu de chacune des bouteilles et vous serez surpris de l’évolutions subie.
Ceci est ce que l’on appelle l’énergie des formes: Tout cercle pointé à son centre dégage une énergie qui peut aussi bien faire monter le taux vibratoire de l’eau qu’adoucir un vin légèrement vert de fruit parce que trop nouveau.
Le cromlech est une construction du néolithique constituée d’un cercle tracé au sol et dont le centre porte une pierre levée alors que d’autres pierres levées, généralement plus petites, sont disposées sur le cercle tracé.

LA MÉMOIRE DE L’EAU

cristal-eauIl y a une douzaine d’années, un chercheur : Jacques BENVENISTE est venu perturber ses collègues scientifiques en publiant ses recherches sur LA MEMOIRE DE L’EAU . Il décrit alors l’expérience suivante : prendre un cœur isolé (un cœur d’animal fraîchement abattu). Il palpite encore pendant quelques temps puis s’arrête mais continue à produire de l’histamine (les polynucléaires basophiles sont des cellules contenant l’histamine qui restent vivantes pendant trois jours après que le sang se soit desséché !).
Si l’on enregistre sur un magnétophone les bruits des battements allant en diminuant d’intensité et que l’on continue l’enregistrement, bien qu’inaudibles, l’on enregistre les fréquences émises encore par le cœur.
Lors de la lecture de la bande magnétique, l’on place une bouteille d’eau entre les oreillettes du casque d’écoute et on laisse se dérouler la bande.
Ensuite on prélève de l’eau et on l’applique sur le cœur isolé qui va se remettre à battre exactement comme si on avait appliqué de l’histamine. – 100 à 194 pour l’histamine et 100 à 193 pour son eau !
L’eau a mis en mémoire le signal électromagnétique de l’histamine. Cette eau peut être stockée et l’expérience renouvelée.
Ses collègues ne veulent pas le prendre au sérieux et il a les pires ennuis avec sa hiérarchie qui le place sur une voie de garage !
En juillet 1995, il recommence la même expérience mais en enregistrant sur une disquette d’ordinateur. Cette disquette sera envoyée aux Etats Unis où elle donnera les mêmes résultats … sans pour autant que BENVENISTE soit reconnu par ses pairs !

MAGNETOPHONE

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Pour un radiesthésiste disposant des 24 pendules numériques, il sera facile de reproduire l’expérience précitée. Il lui suffira de placer, immobile, l’un quelconque de ces pendules à proximité du micro de son magnétophone et de laisser fonctionner celui-ci en position d’enregistrement. La lecture de cette bande sera faite avec un casque … et une bouteille d’eau sera placée entre les deux écouteurs.
Cette bouteille sera mise à la disposition d’un second radiesthésiste qui présentera ses propres pendules numériques et un seul d’entre eux rentrera en giration : celui portant le même nombre que le pendule ayant servi à l’enregistrement.
Il pourra aller plus loin en plaçant plusieurs pendules lors de la séance à l’enregistrement : ils seront retrouvés lors de la lecture.
Ces opérations pourront être effectuées non pas sur un magnétophone, mais sur un ordinateur équipé d’une carte son … et les disquettes copiées et envoyées pour lecture aux quatre coins de France.
L’observation de ces phénomènes corrobore pleinement l’idée émise par BENVENISTE en ce qui concerne la MEMOIRE DE L’EAU tout en mettant en évidence les qualités électriques et magnétiques des fréquences émises par les pendules … et, par extension, à tout ce qui vibre et tout ce que détectent les radiesthésistes.

EAU DE LUNE NOIRE

La nuit de la lune noire est celle qui, au changement de lune, fait que l’on n’aperçoit pas la lune ! Que vous mettiez sur votre terrasse une bouteille d’eau de la ville répondant à l’exemple de celle de MONTPELLIER, que vous placiez une bouteille d’eau de source ou minérale, que vous expérimentiez une eau que vous aurez volontairement chargée des trois vitales : le lendemain de l’exposition à la lune noire, vous n’aurez plus que de l’eau contenant obligatoirement toutes les fréquences du champ magnétique terrestre !
Par contre si vous mettez les bouteilles au soleil, alors vous retrouverez votre eau originelle !

EAU DE PLEINE LUNE

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Si nous pratiquons la même expérience pendant la nuit de la pleine, nous constaterons qu’il n’y a plus rien. Notre eau est complètement morte. Nous retrouvons là l’observation des poilus de 14 qui s’étaient aperçus que les blessés qui ne pouvaient être retirés des champs de bataille les nuits de pleine lune étaient retrouvés morts au petit matin.

EAU DE PLUIE

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eau de pluie 2Il n’y a rien à dire sur l’eau recueillie les jours de pluie, si ce n’est qu’elle est rarement limpide même si elle tombe directement dans le récipient de cueillette. En effet, traversant les nuages porteurs de pollution, elle arrive sur terre avec des traces de boue surtout remarquées lorsque le vent du Sud est chargé des poussières de sable en provenance du Sahara.

EAU DE PLUIE d’ORAGE

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Il n’en est pas de même pour les eaux recueillies lors d’une pluie d’orage. Les décharges électriques entre les nuages aux charges électriques opposées, transmettent à cette eau bien particulière une « ionisation » qui nous la fait mesurer :
positive – longueur d’onde = 8 mètres – taux vibratoire maximum – aucune fréquence du champ magnétique terrestre – présence des 3 vitales !

MARCEL VIOLET

Marcel-Violet

Membre de l’ACADEMIE DES SCIENCES , titulaire du LABORATOIRE THERMO-ORGANIQUE et BIOLOGIQUE au CENTRE DE RECHERCHES MEDICALES ET SCIENTIFIQUES de PARIS . Il meurt en 1973.
C’est la lecture des expériences de Marcel VIOLET qui m’a encore davantage amené à m’intéresser aux extraordinaires propriétés de l’eau. En effet, ce chercheur contemporain était responsable d’un centre expérimental de 450 hectares dans la banlieue parisienne. Un jour il fut intrigué par le comportement du bétail qui préférait boire l’eau boueuse des ornières du chemin à l’eau limpide de l’abreuvoir … ce après une pluie d’orage. Cette question l’obséda au point qu’il passât la plus grande partie de sa vie à en chercher la solution et à expérimenter un tas d’appareils. Il déposa même un Brevet dont on peut se procurer la copie. L’instrument décrit, assez compliqué, lui servit à fabriquer de l’eau VIOLET, une eau ionisée dont il ne savait décrire la particularité exacte car il n’avait pas eu l’idée de rechercher les fréquences particulières qu’elle contenait.
Je souligne en passant que, à ma connaissance, nos chercheurs en sont toujours au même point !
Bref, il commençât à faire tremper des graines de semence dans son eau … et s’aperçut, non seulement, qu’elles donnaient davantage de résultats (un peu plus de 10%), mais qu’elles étaient nettement moins sensibles aux actions des champignons et autres parasites dont souffraient leurs voisines non traitées, mais semées sur le même terrain.
Il allât jusqu’à boire son eau VIOLET, en recommandant à ses amis de faire de même, ce qui leur valût de mourir avec un vieillissement corporel en retard de 20 ans par rapport à leur âge réel !
Il fit mieux : grâce à son amitié avec le maire de ROUBAIX, dans l’HOPITAL DE LA FRATERNITÉ (3.600 lits), l’on administrât pendant six mois aux patients un verre de son eau … avec pour constat final l’économie d’un tiers de la durée nécessaire à leur rétablissement !
En 1967 il transmit ce résultat au Ministre JEANNENET alors responsable de la Santé Publique, qui s’empressât de nommer une Commission qui, ne sachant pas mesurer les fréquences, déclarât que ce n’était qu’un placebo sans valeur … et tout ceci restât sans suite, d’autant plus que, entre temps, le ministère avait changé de ministre. Amen !
Marcel VIOLET est décédé, cependant il existe encore à PARIS un laboratoire portant son nom et qui continue à fabriquer de l’eau VIOLET. A ma connaissance, très rare sont les médecins qui connaissent son existence !

BREVET VIOLET

Ce brevet, déposé le 17 février 1956 est maintenant tombé dans le domaine public.
Il est basé sur le constat suivant : « l’eau soumise à l’action de sources oscillantes d’énergie ultrasoniques, électriques, électromagnétiques, artificielles ou naturelles (telluriques, cosmiques ou autres) acquiert des propriétés particulières pouvant être utilisées dans différents domaines ».
C’est parce que Marcel VIOLET dit « la présente invention concerne un dispositif permettant de soumettre l’eau à l’action de vibrations artificielles et de vibrations naturelles recueillies sur une antenne » que l’on a pu, à la suite de nombreuses expériences, simplifications et mesures déboucher sur l’obtention de l’eau vibrée grâce à une simple antenne faite d’une tige de bois à travers un bouchon de liège.

EAU ORGANIQUE

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Notre corps est composé de 80% d’eau. Qui s’en soucie ?
Pourtant l’on sait pertinemment qu’une cellule est constituée d’une membrane, du cytoplasme et d’un noyau. Le cytoplasme est composé d’eau retenue à l’intérieur de la membrane. C’est ce que l’on appelle l’eau fixée par opposition à l’eau entourant les cellules qui est reconnue comme eau libre ou encore eau circulante.
Le fait de boire de l’eau possédant les qualités de l’eau de pluie d’orage permet à l’eau intra et extra cellulaire de se purifier. Depuis la naissance cette eau se charge d’impureté résultant du stress de la vie moderne, de la mauvaise qualité des aliments et de notre eau de boisson, de notre vieillissement également. Il semblerait que cette eau vibrée permette aux cellules de retrouver de l’eau « propre » leur évitant de demander à certaines d’entre elles d’aller « laver » leur eau circulante.

celluleLes résultats de certaines recherches permettent de penser que l’organisme disposant d’une eau organique de mauvaise qualité se considère comme en état de privation d’eau, allant jusqu’à enlever à l’individu la sensation de soif, diminuant par là la possibilité d’éliminer .
Bien souvent les malades atteints d’hypertension, ulcères gastro-duodénum, rhumatismes articulaires, cholestérol sont traités avec succès par simple absorption d’eau réhydratant leur corps !

EAU STRUCTURÉE

eau_hexagonale-1Les scientifiques semblent être tous d’accord pour reconnaître que l’eau est le milieu réactionnel de tout l’environnement biologique, électrique et vibratoire de la cellule.
Il faut savoir que depuis 1922 on admet que le rayonnement « mitogénétique » par flash en ultraviolet permet aux cellules de communiquer entre elles. L’on pense que 30 à 50% de l’eau est « structurée » en véritables cristaux liquides.
L’on peut, découlant de ceci, admettre que nos cellules courent le risque de se trouver perturbées par des fréquences parasites qui leur sont nocives si lesdites fréquences venant déformer les ondes émanant du cerveau parviennent à détruire les liaisons cerveau – cellules – cerveau.
Dans le sens inverse, pourquoi ne pas admettre que des fréquences leur convenant peuvent, dans ce cas, favoriser la remise en bon fonctionnement des cellules … allant jusqu’à remplacer le cerveau défaillant dans telle ou telle transmission d’ordres ?

EAU QUINTON

Le physiologiste René QUINTON, né en 1866 est mort en 1925.
C’est en 1904 qu’il émet la théorie suivante : l’eau de mer primitive, aurait eu une teneur en sel de 8 gr au litre (contre 35 actuellement) et la vie n’aurait apparu sur terre que lorsque elle aurait atteint la température de 43°.
La limite vitale dépend du degré d’humidité. On peut prendre un « coup de chaleur mortel » à 35° en atmosphère sèche et survivre à 43° dans une atmosphère saturée.
En 1865 Claude BERNARD avait dit « les cellules de l’organisme qui forment des sociétés que nous appelons tissus ou organes sont reliées entre elles par le liquide qui les entoure, le milieu intérieur et dont l’intégrité est assurée par des actions régulatrices constituant l’homéostasie. (stabilisation de la composante physiologique des organismes vivants).
Il analyse la teneur en sel du sang des poissons cartilagineux (20 gr), poissons osseux (10 gr) et seulement 8 gr pour les mammifères et les oiseaux.
Il tombe la teneur en sel de l’eau de mer à 8 gr par adjonction d’eau de source vivante et en 1897 il saigne un chien de 10 Kg « à blanc » en lui enlevant 425 gr de sang en 4 minutes et lui injecte 532 gr de son eau. Les globules rouges passent de 6.800.00 à 2.900.000, une fièvre s’installe à 40° et l’abattement est extrême. Le 4ème jour, les globules rouges remontent à 3.000.000, le chien se réveille et dévore 400 gr de viande Le lendemain le chien est normal !
Deuxième expérience : perfuser sur un chien de 10 kg, 10,4 litres d’eau de mer par intraveineuse en 12 heures. Le chien perd 2 degrés de sa température et urine 9,4 litres. Fin de l’opération, le chien reprend ses 39 degrés et présente une activité normale !
René QUINTON insistait sur le fait d’avoir à conserver la « vitalité » de l’eau employée … en 1999 on exige de stériliser !

HETERODYNE

heterodineUne hétérodyne est un petit émetteur d’atelier qui était utilisé principalement pour étalonner les étages de moyennes fréquences dans les récepteurs en modulation d’amplitude. Cet appareil peut émettre des ondes pures ou au contraire des ondes portant une fréquence audible.
Nous calerons notre appareil sur une fréquence correspondant à la mise en giration d’un pendule numérique quelconque et procéderons ensuite à l’expérience suivante :
– une éprouvette d’eau de la ville est placée devant l’antenne de l’éthérodyne durant 50 secondes
– une éprouvette remplie de manière similaire est placée devant le pendule ayant servi à l’étalonnage de l’hétérodyne pendant le même temps.
Nous observons des modifications identiques en mesurant les deux volumes d’eau.

Conclusion : le pendule numérique génère une onde électromagnétique de même nature que celle produite par l’héthérodyne – confirmation à la fois de la mémoire de l’eau et de la qualité électromagnétique des fréquences émises par le pendule numérique !

L’EAU VIBRÉE

eau-vibrée-2Point n’est besoin d’un appareillage compliqué pour retrouver les qualités de l’eau de pluie d’orage. Il suffit de prendre une bouteille (de préférence en verre) et de la remplir d’eau. L’on perce de part en part un bouchon de liège approprié à la dimension du goulot de la dite bouteille de façon à ce que une brochette en bois de 20 à 30 cm de long puisse y être introduite sans qu’elle glisse.
L’extrémité basse et pointue de la brochette va tremper dans l’eau sur deux ou trois cm.
Au bout d’une quinzaine de minutes, l’eau sera transformée :

– plus du tout de fréquences du champ magnétique terrestre
– présence des 3 vitales
– longueur d’onde à 8 mètres
– taux vibratoire au maximum

Toute tige de même dimension peut être utilisée, que ce soit une aiguille à tricoter, une tige de laiton, etc. Si nous recommandons la brochette en bois c’est qu’elle est facile à trouver et qu’elle n’apporte aucune pollution secondaire par effet d’électrolyse comme le ferait une tige métallique.
Par contre nous préconisons l’eau osmosée de préférence à l’eau du robinet. Il vaut mieux travailler avec de l’eau aussi pure que, possible.

EMPLOI

Il est conseillé de prendre un verre d’eau vibrée le matin à jeun. L’on peut également en consommer comme eau de boisson.
Elle conserve ses qualités pendant plusieurs jours mais il est préférable d’en faire chaque jour.
Elle supporte le séjour en réfrigérateur. L’on peut même la transformer en glaçon pour rafraîchir, par contre elle perd ses qualités lorsqu’on la porte au-delà de 65° .

DILUTION

Il est curieux de remarquer qu’une seule goutte d’eau vibrée déposée dans un seau de 10 litres rempli d’eau de la ville, transforme la qualité de cette dernière qui se trouve répondre aux mesures de celles de l’eau de pluie d’orage. Cette faculté de dilution peut être mise à contribution pour arroser d’eau ainsi vivifiée les plantes de nos balcons !

EFFETS

La prise d’eau vibrée agit sur notre eau organique au point de voir cette dernière se modifier au bout de 15 jours à trois semaines. Nous pouvons alors constater :
une évolution de la qualité de l’eau organique qui atteint rapidement son plafond
le pH qui se stabilise à 7
le rH2 qui se stabilise à 28
les pourcentages d’eau pure aussi bien dans les solides (os et muscles) que dans les liquides (sang et lymphe) qui frôlent ceux mesurés chez les nouveaux-nés
la remise à zéro de la pollution médicamenteuse, même pour les cas de traitements lourds de chimiothérapie par exemple.

Il existe une eau spéciale, facile à obtenir, dont le secret s’est perdu. Ses vertus sont des plus désirables : une jeunesse renouvelée, une vie longue de plusieurs siècles, exempte de toute maladie. Ce n’est pas une farce, mais une antique légende qui pourrait bien redevenir une réalité.

L’Eau de Vie

fontaine-jouvence-japon-688poEau lustrale, eau de jade, eau de jouvence, élixir de longue vie, potion magique, elle porte beaucoup de noms selon les lieux et les époques. Les Hébreux l’appelaient Eau des Patriarches. Dans la Bible, les Patriarches sont doués d’une exceptionnelle longévité : 700 ans pour Enoch, 900 ans pour Mathusalem. Cette longévité pourrait bien être due à l’ingestion quotidienne de cette Eau.

 

Avant eux, les Sumériens buvaient l’Eau de Vie, issue d’une source jaillissant au pied de l’Arbre de Vie, deuxième arbre magique de Nibiru, la planète vagabonde des Anunna – en réalité un autre nom pour le paradis terrestre.

abzu-sumer-vautour-basrelief-543poSur la plupart des représentations babyloniennes, les dieux vautours de Sumer sont représentés avec une pomme de pin brandie dans une main, et une sorte de gourde dans l’autre. La pomme de pin représente l’excitation de l’épiphyse, c’est à dire l’éveil. Quant à la gourde, elle contient justement cette eau précieuse entre toutes, qui donne longue vie et jeunesse éternelle. Les Grecs antiques parlaient de l’ambroisie, cette eau divine qui régalaient les dieux de l’Olympe. Avant eux, les Egyptiens connaissaient l’Eau de Jade, fabriquée au pied des pyramides, dans des bassins de pierre aujourd’hui ensablés.

Un ingénieur français du siècle dernier a fait cette découverte que je tiens pour majeure. En travaillant sur les propriétés physiques de l’eau, il pense avoir retrouvé le secret des patriarches. Au cours de ses expérimentations, l’ingénieur Marcel Violet a en effet découvert une eau de longue vie qui ne doit rien à la foudre, mais tout aux particules cosmiques.

Cette découverte s’est faite presque par hasard… mais nous savons tous que le hasard n’existe pas.

L’eau de Harama

niches-eau-de-jade-bulgarie-688poLa Bulgarie, comme d’autres pays d’Europe et d’Asie, a gardé de nombreuses traces de la culture ramaïque. On va les similitudes et parentés linguistiques derrière le mot Hram, ou Ahram, ou Harama, qui veut dire à la fois le temple, et aussi Esprit Pere Mere.

Les Thraces, antique nom de ce peuple, appartiennent à une des antiques civilisations hydrauliques, c’est à dire, selon, une culture des maîtres de la foudre. J’ai déjà évoqué le temples d’éveil à de nombreuses reprises, je pense que leur nom antique était Harama.

Culture hydraulique antique, la Thrace l’est sans aucun doute.

croquelien-baignoire-des-fees-688poVoyez ces petites niches creusées dans la pierre d’un sanctuaire Harama, dans le but de recueillir l’eau de Jade, jadis produite dans les pyramides aztèques, mayas, incas, égyptiennes, chinoises, russes, bosniaques ou autres. C’était une civilisation planétaire, on ne doit pas s’étonner d’en trouver trace un peu partout. « Les anciens connaissaient la force géomagnétique de la Terre et savaient s’en servir. Voyez ces niches aménagées sur la terrasse d’un des principaux sanctuaires bulgares. Ces niches étaient remplies d’eau ou de vin que nos ancêtres utilisaient pour recharger et guérir leur corps grâce aux vertus du géomagnétisme. » (source)

J’explique dans un autre article comment se procurer, et surtout comment conserver et consommer cette mystérieuse eau lustrale et sacrée que les anciens vénéraient pour ses vertus magiques.

L’eau de pluie doit être recueillie dans des récipients en pierre, tout contact avec le métal ôtant ses effets. Elle devait provenir d’une pluie d’orage, afin d’être vibrée par la foudre. Je trouve ici la preuve que cette technique était connue et pratiquée par les Thraces, ancêtres des Bulgares.

Le cratère de Patomsky

patomskiy-cratere-irkoutsk-siberie-688poEn Sibérie, non loin d’Irkoutsk, il existe une roche étrange sur laquelle la communauté scientifique se perd en conjectures. Je vous fais grâce de leurs disputes dont vous trouverez le détail ici. Sa forme particulière fait penser qu’on l’a sculptée. Dans quel but ? Pour recueillir l’eau de pluie, l’eau d’orage, dans ce récipient en pierre naturelle, afin qu’elle soit vibrée par les radiations minérales après avoir été vibrées par la foudre. Voilà ce que je crois.

Les grandes pierres se trouvent tout autour de la terre. En Afghanistan et en Inde, il existe d’antiques citernes entièrement creusées dans d’énormes blocs de pierre.

Stupas-of-Takht-e-Rostam-Afghanistan-688poLes jarres de terre cuite ou les amphores de pierre ou de poterie obéissaient à la même règle : une eau en contact avec du métal n’est plus vivante, et beaucoup moins bénéfique. Ainsi les canalisations antiques étaient-elles en poterie, voire en pierre. L’eau potable venait souvent d’une montagne proche, par des tunnels creusés à même la roche.

laos-plaine-des-jarres-688poLa Plaine des Jarres, au Laos, où l’on trouve des dizaines de grandes jarres creusées dans des blocs de pierre dure, est une autre illustration de l’universalité antique de cette pratique. Il était absolument nécessaire que l’eau d’orage soit conservée dans la pierre, sans contact prolongé avec aucun métal.

 

Cupules et bénitiers

croquelien-15-avril-2015-baignoire-stefKervor-688poSur certains dolmens, on peut trouver des cuvettes appelées cupules. Certaines de ces cupules sont si grandes qu’on peut s’y baigner. Les cupules comme tous les autres bains de pierre servaient à se baigner dans l’eau lustrale qui vient de la foudre.

Dans les vieilles églises, on trouve encore le bénitier antique où le prêtre avait bénie un peu d’eau dont se servaient les fidèles pour faire leur signe de croix. Inutile de préciser que tous ces bénitiers anciens sont en pierre, ou parfois en nacre, celle d’un bivalve géant ramené des îles bienheureuses par quelque navigateur au long cours.

Les premiers bénitiers en métal datent du dix-huitième siècle, celui des catastrophes !

Eau de Jade et Mer d’airain

Le temple de Salomon renfermait bien des merveilles où l’on aurait tort de ne pas voir des réalisations technologiques. Vingt-quatre antennes surmontaient l’édifice : des paratonnerres, ou plutôt des capteurs de foudre.

De plus, Hiram, l’architecte du temple, avait coulé dans le bronze une gigantesque piscine où Salomon prenait son bain rituel. Cette piscine de bronze était nommée la Mer d’airain. (source)

Selon moi, les capteurs de foudre et la mer d’airain sont deux éléments d’un piège à foudre. Deux pièces d’une machine à changer l’homme en dieu. C’est la foudre qui vibrait l’eau de la Mer d’airain pour en faire de l’eau de Jade.

La Mer d’airain de Salomon

mer-d-airain-salomon-543« La Mer d’airain – yam moustak en Hébreu – était selon la Bible une grande piscine ronde, en airain fondu, qui se trouvait à l’entrée de temple de Salomon. Cette piscine avait 6 mètres de profondeur et 12 mètres de diamètre, soit environ trente six mètres de circonférence.

Le bord était orné de deux rangs de fleurs ciselées, les parois avaient pour épaisseur la largeur d’une main et le bassin tout entier était supporté par douze boeufs, également en airain. C’est dans cette piscine que les prêtres venaient faire leurs ablutions.

Elle fut brisée par les Chaldéens lors de la destruction du temple et transportée par morceaux à Babylone.

Harappa, le bassin d’ablutions à l’Eau de Foudre devant un temple d’éveil

empire-rama-mohenjodaro-ruines-543poLes temples à foudre possédaient tous leur piscine. On connaît celle de l’Osiréion à Abydos, Egypte. On connaît aussi celle de Harappa, Inde, sur le parvis du temple.

On connaît le bassin sommital de l’Akapana, la pyramide de Tihuanaco, Pérou. On sait que la grande pyramide de Gizeh, Egypte, était entourée d’un large bassin, comme les pyramides du Soleil et de la Lune à Teotihuacan, Mexique.
L’eau de foudre joue un rôle central dans la technologie antique de l’éveil fulgural. Les Egyptiens la nommeront Eau de Jade, et les Amérindiens l’appelaient à l’origine l’Eau de Tlaloc. Cette divinité toute puissante était le dieu de la foudre, de l’agriculture et de l’irrigation. J’ai montré pourquoi ces trois choses sont réunies sous sa divinité : dans les Andes, la pluie ruisselle le long des montagnes et irrigue au fil de sa descente les innombrables terrasses de culture maraîchère qui couvrent la plupart des falaises. Car si l’eau n’est pas « bénie » par la foudre, la terre sera moins fertile.

Chez Hergé ou son ami Edgar Jacobs, la foudre joue un rôle tout à fait singulier qui mérite l’exégèse. Tintin au Tibet rencontre un vieux lama qui lévite sans crier gare. Comment s’appelle ce vieux lama ? Foudre Bénie.

Chac dans les Andes ou Tlaloc dans les sierras du Mexique étaient des dieux ruisselants. Dans les deux cas, le dieu de la pluie est aussi celui des récoltes. Etait-ce le même personnage ? Quant à la foudre, on la trouve à l’origine de tout.

Les cités des cimes andines étaient des pièges à foudre. La foudre apportait l’eau qui donne la vie au corps et aux plantes, et l’éveil qui donne la vie à l’esprit. La foudre apporte l’énergie vril, qui fait aussi tourner les machines et briller les lampes.

Les dieux d’avant ont enrichi de grandes quantités d’eau, pour leur consommation, celle de leur bêtes, et celle de leurs plantes. Les eaux d’irrigation, vibrées par la foudre et enrichies par les nitrates qu’elle y développe, produisaient des récoltes abondantes et variées, qui faisaient des envieux dans les vallées où des chasseurs primitifs trouvaient à peine de quoi survivre.

L’eau de jade n’est pas seulement bénéfique pour l’agriculture. Nos ancêtres savaient en tirer profit de bien des façons. Ils la buvaient par petites quantités, ses vertus étaient innombrables : guérison, rééquilibrage énergétique, cure de rajeunissement, voire éveil.

chine-mer-d-airain-salomon-688poTout autour du monde, les initiés s’immergeaient dans des piscines d’eau de foudre, comme celle de l’Akapana à Tihuanaco, comme le bassin central de Teotihuacan, comme la piscine de l’Osiréion d’Abydos en Egypte, comme la piscine de Harappa ou celle de Mahabalipuram en Inde, et comme les piscines de métal.

Car Salomon n’était pas le seul à se baigner dans une piscine d’airain : les anciens dignitaires chinois faisaient leurs ablutions dans des vasques du même type.

J’imagine qu’elles étaient reliées à un captage de foudre, comme la Mer d’airain. J’imagine aussi qu’elles étaient emplies d’eau de Jade. D’ailleurs le jade n’est-il pas d’origine chinoise ?

Il y avait plusieurs qualités d’eau de foudre, qui était plus ou moins efficace selon la quantité de vril que l’eau avait reçu. On peut aussi fabriquer l’eau de jade sans l’aide de la foudre.

Un ingénieur français du siècle dernier a fait cette découverte que je tiens pour prodigieuse. En travaillant sur les propriétés physiques de l’eau, il a percé le secret des patriarches : une eau de longue vie qui ne doit rien à la foudre, et tout aux particules cosmiques.

L’eau vitale de Marcel Violet

Un peu par hasard, mais qui croit au hasard ? l’ingénieur Marcel Violet a retrouvé un antique secret : une eau très spéciale, aux vertus parfaites, qui se fabrique très aisément. Ce secret, il l’appelle le secret des patriarches, car son eau est censée prolonger la vie. Voici son histoire.

« La biologie est pour la plus grande part la science de l’eau » a dit un grand biologiste français. C’est profondément vrai. Le corps d’un bébé est constitué surtout d’eau. Et même si ce pourcentage diminue avec l’âge, le vivant repose d’abord sur l’élément eau.

« La vie, de la jeunesse à la vieillesse, est une déshydratation. Le nouveau-né contient 85 % d’eau. Le vieillard extrême n’en contient plus que 60 %. » Rester jeune, c’est garder son eau. La perdre, c’est vieillir.

Quelle est la nature exacte de l’apport de l’eau dans un organisme vivant ? Passons sur son rôle de solvant et ses qualités chimiques qui ne concernent pas cet exposé. Il y a dans l’eau un miracle intime que Marcel Violet traque depuis des années. « Sous l’aspect énergétique, l’eau est surtout caractérisée par la propriété d’entrer en résonance avec toutes sortes de fréquences couvrant toutes les gammes possibles de vibrations. »

Les maraîchers connaissent bien le pouvoir d’une pluie d’orage, qui fait monter les salades. Ce pouvoir n’est pas de nature chimique, même si les composés nitrés de l’eau d’orage sont d’excellents fertilisants. « Les maraîchers font séjourner de l’eau pour l’arrosage des légumes dans des bassins peu profonds, exposés aux rayons solaires, et ne l’utilisent qu’après une assez longue exposition. » (source) Une lunaison entière semble la bonne durée. Les animaux de la ferme délaissent toujours l’abreuvoir pour boire l’eau des flaques après l’orage, car l’eau vibrée par la foudre leur donne une énergie et une vitalité sans pareille.

Et ce ne sont pas seulement les nitrates de foudre qui les galvanisent.
En 1938, une expérience interrompue m’a mis sur le chemin de l’explication de ces phénomènes. J’étudiais les réactions de cultures microbiennes aux couleurs du spectre. Ayant dû m’interrompre, j’ai recouvert mes cultures d’une peau de cobaye tannée, tendue sur cadre de bois. Un quart d’heure plus tard, j’eus la surprise de constater des modifications profondes, inexplicables. J’ai mis en évidence le rôle d’un rayonnement non lumineux, qui, associé au rayonnement lumineux, en modifiait l’action et pouvait même en changer le sens. Ce rayonnement serait-il l’énergie vitale ? »

Il est utile de rappeler, dans le contexte de la guerre de 39-45 et de l’après-guerre, que les idées philosophiques de Bergson dominaient alors la planète jeunes, surtout sa thèse passionnante sur l‘élan vital.

Aussi la découverte de Marcel Violet prenait-elle une allure moderne, sinon révolutionnaire, qui avait de quoi stimuler ses recherches. Il les poursuivit des années durant, sans aucune aide, au contraire : il s’est exposé aux moqueries et aux humiliations de ses chers collègues.

Et pourtant, Violet a mis en évidence une nouvelle forme d’énergie, le fameux élan vital de Bergson, l’énergie biologique, ou vril.

Marcel Violet, en bon ingénieur, a mis au point une méthode complexe pour fabriquer scientifiquement cette Eau de Vie aux magnifiques propriétés. La recette n’est pas à la portée de n’importe quel bricoleur, et je renvoie les fanatiques à la lecture de son ouvrage, où tout est détaillé, y compris ses démêlés avec le Conseil de l’Ordre des Médecins, qui lui a refusé toute autorisation de commercialisation.

Mais je ne vais pas vous laisser le bec dans l’eau, ou plutôt hors de l’eau. L’air de rien, Violet nous livre une clé somptueuse : grâce à elle, l’eau de jouvence est à la portée de tous. On s’y met quand ?eau-jouvence-prostitution-moyen-age-688po

 

Vous savez comment vous y prendre. Première méthode : recueillir l’eau d’orage dans un récipient de pierre, de terre cuite ou de verre. Buvez l’eau de foudre. Deuxième méthode : placer un flacon de verre empli d’eau potable à la lumière du soleil sur votre balcon pendant une lunaison. Buvez l’eau vitale. Troisième méthode, la plus ardue : suivez attentivement les recommandations de Marcel Violet. Buvez l’eau Violet.

APPLICATION DE L’EAU VIBRÉE EN AGRICULTURE

Les secrets d’un patriarche :

« La découverte qui aurait pu changer le monde »

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, un ingénieur français découvrait l’influence du rayonnement cosmique sur le vivant …

« La découverte qui aurait pu changer le monde »

Marcel Violet (1886 – 1973), ingénieur des Arts et Métiers et inventeur français, considéré comme le père du moteur à deux temps pour les automobiles.Il s’est inspiré des travaux dans les années vingt du physicien et biologiste français, Georges Lakhowsky, l’un des premiers à étudier les relations entre les radiations cosmiques et les phénomènes vitaux, qui conclut que les rayonnements cosmo-telluriques ont une influence, bonne ou mauvaise, sur la vie.Les expériences de Marcel Violet l’amènent à constater, à partir de 1938, l’existence d’un rayonnement pénétrant non lumineux qui, associé au rayonnement lumineux visible, en modifie profondément l’action.Il expérimente que l’eau soumise à ce rayonnement donne des effets bénéfiques sur la santé et la croissance des plantes.Après la Seconde Guerre mondiale, il consacre ses recherches à l’explication de ces phénomènes et invente notamment un procédé de traitement électro-vibratoire de l’eau (brevet-professeur-violet-n1.142.722).
Energie vitale ?

C’est dans son livre (1) qu’il explique les résultats de ses recherches. En voici les extraits principaux concernant notre sujet :
« Ces diverses observations constituent une confirmation – sinon une preuve formelle – de la justesse de l’hypothèse de travail précédente. Elles semblent établir que le rôle fondamental de l’eau en biologie tient essentiellement à sa capacité d’absorber, puis de restituer, certains rayonnements capables par ailleurs de jouer un rôle strictement actif sur les substances vivantes.Ces rayonnements constitueraient-ils donc « l’énergie vitale »? (…) La guerre survint et m’obligea à interrompre mes recherches pour me consacrer à d’autres occupations. J’avais cependant conservé la liaison avec les Officiers de la Section Technique de l’Armée et, lorsqu’en 1948, je reçus du général Sabatier son remarquable travail, ce fut pour moi un trait de lumière. (…)Les extrapolations de Sabatier et la question qu’il posait : « Sommes-nous en présence des ondes biologiques ? » trouvaient leur réponse dans mes expériences. Nous touchions indiscutablement aux origines de la Vie et, peut-être, à la Vie elle-même.Nous allons essayer d’exposer, en y mettant un peu d’ordre, tout un ensemble d’expériences qui ont eu lieu, dans un empirisme complet au début, puis s’ordonnant au fur et à mesure que les résultats apparaissaient, pour atteindre enfin le stade du contrôle systématique, en attendant celui de la connaissance scientifique complète. »
Essais sur le végétal…
Marcel Violet explique ensuite son procédé consistant, grosso modo, à capter des ondes et exposer de l’eau à leur rayonnement. Après de nombreux tâtonnements : « Le résultat fut immédiat. Je fus à même de produire une eau dont les effets accélérateurs sur la germination des graines permettaient des contrôles et des mesures. Nous sommes restés de longues années à utiliser le phénomène sans pouvoir l’expliquer. (…)À la demande du ministère de l’Agriculture, il fut procédé à des essais systématiques de l’influence des ondes biologiques sur la croissance et la composition des plantes. Différents procédés sont utilisés, notamment :
– Trempage des graines dans l’eau traitée par les ondes biologiques. Les graines séjournent en général quinze minutes dans l’eau avant d’être mises en terre. L’expérience était comparée à la croissance de plantes témoins dont les graines étaient simplement trempées dans de l’eau non traitée.– Arrosage des plantes avec de l’eau traitée diluée.
– Traitement des plantes avec des gaz chargés d’ondes biologiques. Les expériences sont complétées par des expériences-témoins identiques, effectuées en même temps, mais avec de l’eau de même nature, non traitée.
Les premiers résultats ont déjà été enregistrés : Carottes de Croissy récoltées après huit semaines de végétation, en même temps que les témoins. Les témoins pèsent en moyenne 60 grammes. Les plantes traitées pèsent en moyenne 80 grammes, certains sujets exceptionnels atteignant 1 200 grammes.L’analyse de la composition (minéraux, vitamines etc.) ne révèle aucune différence. La saveur et la consistance sont apparemment identiques. Les carottes proviennent de graines d’un même paquet et ont été semées le même jour dans la même terre. La graine du 1 n’a pas été traitée. La graine du 3 a subi un trempage de huit heures dans l’Eau traitée agricole. La carotte 2 provient d’une plantation antérieure oubliée, elle est dure et non comestible, mais montre le développement maximum normal de cette variété.Betteraves fourragères – La partie témoin a donné 99 tonnes l’hectare. Poids moyen, 2 kg. La partie dont les semences avaient subi le trempage, a donné 113 tonnes à l’hectare. Poids moyen 2,25 à 2,3 kg. La partie dont les semences avaient été traitées, mais qui avait en outre subi un arrosage à mi-végétation, a donné 126 tonnes à l’hectare. Poids moyen 2,4 kg avec des sujets atteignant 8 kg !Les analyses très précises effectuées sur les différents sujets n’ont révélé aucune différence de composition.
Pommes de terre.

Toute une série d’essais effectués sur les pommes de terre devaient conduire à des résultats tels que la conclusion qui en découle est d’une importance capitale dans l’évolution de la biologie.Voici un résumé des premiers résultats d’essais entrepris en 1967 dans des cultures maraîchères en serres, dans l’Aisne. Les plantes ont été arrosées à l’eau électro-vibrée en dilution à 10%, deux fois à trois semaines d’intervalle après le semis. »Ces pommes de terre ont été mises à germer ensemble. Les premières n’ont pas subi de traitement préalable. Les secondes ont été traitées par les procédés Marcel Violet.
Des arbustes de tomates.

Marcel violet présente ensuite les résultats sur les melons, les concombres, les salades, le céleri, avant d’arriver aux tomates…Tomates – Il a déjà fait un rapport sur le comportement des plants de tomates arrosés à l’eau électro-vibrée. Au lieu de pousser en hauteur, elles se développent en largeur, formant des arbustes forts avec un tronc large de 2 cm de diamètre. L’abondance des grappes est spectaculaire. (…)Les premières expériences de traitement de plantes comportèrent de nombreux échecs : selon l’électrode employée pour préparer l’eau, la croissance de telle ou telle espèce était améliorée, alors que d’autres restaient indifférentes et que d’autres encore se voyaient contrariées.Le botaniste ou l’agronome, d’ailleurs, n’en seront guère surpris, connaissant l’extrême diversité des besoins minéraux dominants des différentes plantes. Le problème humain est d’ailleurs essentiellement différent du problème agricole puisque, en général – à tort ou à raison d’ailleurs – tandis que l’on recherche à stabiliser l’homme adulte.Remarquons encore que la plante, immobile dans son environnement, est beaucoup plus influencée par une multitude de facteurs qu’elle y rencontre : composition du sol, climat, voisinages, etc.C’est pourquoi les eaux utilisées en agriculture ne seront jamais les mêmes qu’en diététique. Seuls les établissements spécialisés pourront fabriquer une eau convenant à chaque usage envisagé, qu’il s’agisse de trempage de graines ou d’arrosage (sans matériel métallique, bien entendu).Les perspectives d’utilisation de l’eau traitée dans le domaine agricole n’en sont pas moins fabuleuses.Au cours de son assemblée annuelle de 1966, la FAO reconnaissait l’échec des techniques actuelles de fertilisation et de lutte contre les facteurs de destruction des récoltes et de moyens de production, notamment les maladies cryptogamiques et les parasites, face à la montée démographique.
« L’utilisation systématique de l’eau traitée semble offrir des perspectives fabuleuses… »
Dans ce domaine, l’utilisation systématique de l’eau traitée semble offrir des perspectives fabuleuses, puisque le traitement peut être effectué partout, ou presque et dans des conditions de rentabilité inespérées, par comparaison avec les autres techniques.Peut-être une action vigoureuse dans ce sens pourrait-elle encore sauver des régions entières du développement actuel et surtout prochain, du paupérisme et de la misère physiologique. En tout cas, c’est la première chose à tenter ! »Ainsi on peut constater qu’après la Seconde Guerre mondiale, des expériences sur l’agriculture et les végétaux ont été menées pendant près de vingt ans, certaines à l’initiative du gouvernement français, avec des résultats spectaculaires.Pourtant, c’est la voie du tout-chimique qui fut choisie ensuite, reléguant aux oubliettes de l’histoire les travaux de ces précurseurs. Même si on comprend bien les (en)jeux à l’œuvre, au moins on sait à qui a profité et profite toujours le « crime »… ●
Notes :1. Le Secret des Patriarches – L’énergie cosmique au service de la santé, Marcel Violet et Michel Rémy, éd. Vie et Action, 1968
Les travaux de Marcel Violet auraient peut-être pu avoir des répercussions exceptionnelles sur la santé et d’autres domaines.
Source Nexus N° 65
L’eau de Jouvence

Si vos pas vous mènent au Tombeau de Merlin en Brocéliande, écrivez votre voeu sur un papier que vous glisserez dans une fente de la pierre. Après quoi, ne manquez pas d’aller faire trempette dans la Fontaine de Jouvence.

Source : Eden Park

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