Philosophie intégrale
Philosophie intégrale

La vraie philosophie est une philosophie intégrale qui prend en compte la totalité de la dimension de l’homme : son corps, son âme et son esprit. Elle ne rejette pas la raison mais l’utilise pour aller au-delà jusqu’à la vision de l’absolu.

Ken Wilber représente à sa façon cette philosophie intégrale. Il est le philosophe américain le plus traduit dans le monde et pourtant presqu’inconnu en France.

Voici quelques renseignements généraux sur Wilber et sa pensée. Ces pages viennent d’un site critique qui lui est consacré, site qui est dirigé par Frank Visser http://www.integralworld.net/fr.html , auteur d’un excellente biographie sur ce penseur : Thought as passion.

visser

« Né en 1949 à Oklahoma City, Ken Wilber a vécu dans de nombreux endroits pendant ses années scolaires, du fait que son père travaillait dans l’Armée de l’Air. Il a étudié en highschool à Lincoln, Nébraska, et a commencé sa médecine à Duke University. Cependant, il a au cours de sa première année perdu tout intérêt pour la poursuite d’une carrière scientifique, et a commencé à lire la psychologie et la philosophie, aussi bien occidentale qu’orientale. Il est retourné au Nébraska pour étudier la biochimie, mais après quelques années a abandonné le monde universitaire (avec un diplôme en biochimie) pour consacrer toute son temps à étudier selon son propre programme et à écrire des livres.

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dynamique spirale
dynamique spirale

Pour Patrick Drouot, auteur de « La révolution de la pensée intégrale », le monde évolue maintenant tellement vite que nous ne pouvons plus nous contenter de résoudre les problèmes au fur et à mesure. Au contraire, il propose de changer de regard à l’aide d’une spirale dynamique…

C’est dans les années 1950 que le professeur Clare Graves a échafaudé ce qu’il a d’abord appelé sa « théorie de l’émergence cyclique des niveaux d’existence ». Une formule un peu barbare pour décrire une réalité certes complexe, mais très accessible et qui met magistralement en lumière la manière dont évoluent à la fois les humains et les sociétés qu’ils composent. Plus tard, dans les années 1980, ces travaux, repris et complétés, ont été baptisés « Dynamique Spirale » par les deux élèves de Graves qui se sont attelés à la difficile tâche de poursuivre les travaux du fondateur du modèle. Aujourd’hui, c’est donc sous cette appellation que l’on connaît cette théorie. Une appellation très parlante. En effet, il semble que depuis cent mille ans, les sociétés humaines aient évolué non pas en suivant une ligne droite lancée vers un avenir toujours fuyant, mais comme une Spirale ; un mouvement inexorable vers plus de complexité, qui se développe à la manière d’une courbe s’enroulant autour d’un axe central et repassant périodiquement à l’aplomb des mêmes points, sur un plan supérieur.

Depuis, cette idée provocante a séduit un nombre grandissant de penseurs et de chercheurs de tous bords. D’autant que Graves a émis une hypothèse étonnante : les sociétés planétaires évolueraient par elles-mêmes, cette évolution façonnant les humains qui la composent et qui, par leur propre transformation, influenceraient à leur tour la société dans laquelle ils vivent.

Ce n’est donc pas une seule Spirale que nous allons étudier, mais une sorte de double hélice dont une branche concerne l’évolution de la société, et l’autre celle de l’individu, les deux étant indissociablement liées.

Avant de parvenir à cette vision de l’évolution humaine, Graves s’est livré à un véritable travail de fourmi, interviewant des milliers de personnes, réalisant des tests très minutieux, mettant en perspective les résultats de ses entretiens, analysant les théories précédentes… Et les conclusions qu’il en a tirées jettent une lumière nouvelle sur les mécanismes du monde actuel, tout particulièrement dans la période de crise que nous traversons.
De plus en plus vite…

Le rythme d’évolution du monde ne cesse de s’accélérer. Il y a quelques milliers d’années, ce rythme était si lent qu’au cours d’une vie, les individus ne percevaient pas les mutations de leur groupe. Plus tard, il y a quelques siècles, il s’est accéléré, permettant aux personnes d’un même groupe (une ethnie, un pays…) de commencer à percevoir une petite partie de cette évolution.

Pourtant, le temps de l’évolution du monde est globalement resté plus lent que le temps des hommes jusqu’à une période très récente. C’est seulement depuis la fin du XIXe siècle que le processus a commencé à s’inverser. Aujourd’hui, le rythme d’évolution des sociétés humaines, et tout particulièrement celui des sociétés occidentales, est devenu plus rapide que celui de l’individu. Les grandes mutations, qui s’étalaient autrefois sur des centaines, voire des milliers d’années, ne durent à présent que quelques décennies. Au cours d’une existence, nous pouvons être les témoins conscients de plusieurs mutations successives.

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centre-relaxation-namurNombre de gens pensent avoir déjà vécu dans la peau d’un autre. Le plus souvent dans celle d’un monarque, d’un aventurier ou d’une prêtresse antique. Bien sûr, les scientifiques n’y croient pas

Si loin que remontent les souvenirs d’Edouard, né il y a trente-sept ans, une peur irrationnelle d’être agressé à la gorge a toujours été là. Depuis l’âge de 7-8 ans, il portait donc jour et nuit un foulard protecteur. La seule vue d’une lame tranchante le plongeait dans un fort état d’anxiété. Préoccupé par cette phobie, il a d’abord consulté un psy, sans résultat. Plus tard, il a participé à un séminaire de développement personnel, venu des Etats-Unis. Le dernier jour du stage, au cours d’une séance de régression dans le subconscient, des images étranges se sont imposées à lui: un homme d’une quarantaine d’années, qu’il identifie à un noble du XVIIIe siècle, attend nerveusement dans une prison. Soudain, des hommes se jettent sur lui et le conduisent sur une place publique pour qu’il y soit guillotiné. Au moment où la lame tombe, Edouard pousse un cri et sort brutalement de ce rêve éveillé. Il transpire abondamment. Instinctivement, il enlève son foulard… et réalise avec stupéfaction que sa phobie a soudainement disparu.

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Anne Givaudan raconte comment elle a vécu ses premières expériences de décorporation et ses premiers voyages astraux vers d’autres dimensions non matérielles.
Elle nous explique qui elle a pu rencontrer lors de ses expériences, et quels sont les nombreux enseignements qu’elle a pu en rapporter sur la vie après la mort, sur l’existence de civilisations avancées dans l’univers, et sur la vie ici et maintenant.

 

• LES SOINS ESSÉNIENS, C’EST QUOI ?
Les soins esséniens sont une approche thérapeutique qui utilise le pouvoir guérisseur de la lumière et du son ainsi que le massage de points énergétiques dans le but de maintenir ou rétablir un équilibre harmonieux entre le corps, l’âme et l’esprit. Ces soins agissent en rétablissant la circulation de l’énergie qui a été perturbée par le stress, la maladie, les formes-pensées négatives et les difficultés de la vie quotidienne.
Ces soins sont une forme très ancienne de guérison utilisée il y a plusieurs millénaires en Egypte puis ensuite par les Esséniens qui en ont été les héritiers. Jésus, ce grand guérisseur, était membre de la communauté essénienne. Ces soins sont à nouveau disponibles aujourd’hui grâce à Anne Givaudan qui en a retrouvé la mémoire à travers les annales akashiques. Les annales akashiques sont comparables, en transposant les données sur un plan subtil, à un énorme ordinateur qui engrangerait le passé de la planète et de chacun de ses habitants. Anne Givaudan est l’auteur et le co-auteur d’une quinzaine d’ouvrages traduits en plusieurs langues. Ses livres sont des enseignements sur les mondes de l’après-vie et les principales questions de nos vies actuelles.
Elle souhaite que ses découvertes et contacts contribuent à faire retrouver à chacun sa véritable nature : pluridimensionnelle et sans limite. A travers ses stages, elle s’attache à faire découvrir les soins esséniens, approche thérapeutique à la fois millénaire et très actuelle, afin que chacun soit en mesure de reconstruire son être véritable et intègre. Pour en savoir plus vous pouvez lire < De mémoire d’essénien > écrit par Anne Givaudan et Daniel Meurois ainsi que <Lecture d’aura et soins esséniens> par Anne Givaudan <Formes-pensées> tome 1 et 2 par Anne Givaudan en collaboration avec le Dr Antoine Achram.

• POUR QUI ?
Pour toute personne désireuse de prendre en main la santé de son âme autant que de son corps physique en s’ouvrant au processus de guérison généré par les soins. Il n’y a pas d’âge pour recevoir un soin, jeunes et moins jeunes peuvent en bénéficier tout autant que les malades et les bien-portants.
Un être qui souffre ne souffre pas par hasard. Il apprend à travers l’épreuve qu’il traverse et il grandit car, bien souvent les épreuves sont des cadeaux que nous nous faisons à nous-mêmes, pour aller plus loin en nous et au-delà de nous. La souffrance n’est pas une fatalité et certains mondes ne la connaissent plus. Un accident ou une maladie sont des signaux pour nous faire entendre qu’une partie de nous n’est pas en accord avec une autre. Ce sont des rendez-vous imposés par notre vie supra-consciente qui deviendront des tremplins, lorsque nous les aurons compris et résolus. Il arrive bien sûr qu’une trop grande souffrance nous fasse nous recroqueviller comme un cloporte sur nous-mêmes et ralentisse notre marche. Notre guérison nous appartient. Le thérapeute n’est qu’un outil par lequel l’énergie passe, il permet de prendre de l’altitude par rapport au nœud du problème. Il apporte également les briques ainsi que le ciment qui vont nous permettre de nous reconstruire, mais jamais il ne pourra construire à notre place, parcourir notre chemin, car cela, nous sommes seuls à pouvoir le faire. — (Extrait de Lecture d’auras et soins esséniens).

• POUR QUOI ?
La maladie peut prendre sa source dans l’enfance, dans le moment présent ou dans une autre vie. Elle peut aussi avoir été générée par une façon erronée de comprendre un évènement, par un sentiment dévastateur, par une vieille culpabilité, peu importe, elle ne se trompe jamais de route et ira droit à l’organe ou à l’endroit qui lui correspond.
Elle mettra simplement quelques secondes à agir dans les cas d’un accident, quelques jours s’il s’agit d’un rhume ou quelques années pour un cancer. L’entité-maladie ne comptabilise pas son temps, cette notion lui est étrangère car elle se nourrit en permanence des pensées non évacuées que nous émettons quotidiennement. Les formes-pensées que nous émettons sont toutes à l’origine de nos maux actuels. Lorsque je conseille dans les soins, de couper les vivres ou de cesser d’alimenter une forme-pensée, il s’agit bien de cela. C’est aussi pour cette raison qu’il est important de retrouver nos vieux contentieux, nos nœuds non réglés et souvent oubliés car si notre conscient fait mine d’oublier, le travail de destruction ne cesse que lorsque tout est nettoyé.
Le pardon envers nous-mêmes, le pardon envers l’autre est le facteur le plus puissant de cette dissolution. Il éclaire la vie différemment, demande de la compassion pour accepter et comprendre ce que nous étions, ce que l’autre était….à ce moment-là. Pardonner en superficie, intellectuellement, mentalement, ne peut suffire à éradiquer une forme-pensée car celle-ci n’est pas dupe et vous ne pouvez la tromper. S’il reste au fond de votre cœur la moindre particule de grief, le nettoyage n’est pas fait et le résultât sera toujours en dessous de ce que à quoi vous vous attendiez. (Extrait de Lecture d’aura et soins esséniens)
Les soins Essénniens travaillent à la fois sur le corps physique et sur les corps subtils ce qui leur permet d’avoir un large registre et d’être aussi efficaces que ce soit pour un problème de santé précis ou pour un mal être profond. Cependant ils demandent la coopération des deux parties: le thérapeute et le patient. Le grand art du thérapeute essénien tient dans le fait « d’aider le patient à se guérir lui-même. » Ce qui est la Clé de toute Véritable GUERISON.

Source: http://sois.fr/therapie_essenienne/presentation_des_soins_esseniens/

intuition

L’intuition, c’est l’affaire d’une seconde de clairvoyance, par définition impromptue. Mais l’attitude intuitive se cultive au fil du temps, c’est un choix et un art de vivre, dont voici quelques clés.

On aimerait tous avoir de « bonnes intuitions. » Mais à bien y réfléchir,
la mauvaise intuition n’est pas de l’intuition. Elle est un désir, un préjugé, une fantaisie de l’imagination prise pour une intuition. Le propre de l’intuition est de fournir une information juste sur une situation à venir. Que faire, puisque le processus est inconscient ? Laisser à l’inconscient plus de place pour s’exprimer. Surtout, ne vous mettez pas martel en tête ! Être à l’écoute de son intuition, c’est d’abord lâcher prise et accepter ce qui vient. Un état d’esprit serein, le développement de l’attention au moment présent, l’écoute de votre corps sont autant d’attitudes qui vous permettront de vous engager sur la voie intuitive.

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