chromatherapie
chromatherapie

La thérapie par les couleurs ou « chromathérapie » est une médecine alternative ancestrales qui puise sa source au cÅ“ur de civilisations anciennes comme les pharaons en Egypte. Des recherches ont montré que des pays comme la Grèce, l’Inde ou encore la Chine utilisaient déjà les couleurs à vocation curative il y a des milliers d’années.
Peu connue en France, la chromathérapie suscite davantage d’intérêt chez nos voisins, comme la Suisse, où elle est reconnue et prise en charge par le système de santé.
Comment ça marche ?
Nous, êtres humains, sommes faits d’ondes et d’énergie. Les couleurs correspondent à des fréquences précises auxquelles notre corps est réceptif lorsqu’il y est exposé. Lors d’une séance, l’organisme est stimulé de sorte qu’il puisse, de lui-même, mobiliser les ressources nécessaires pour se rééquilibrer, mieux se défendre.
Si, par exemple, vous souffrez d’une pathologie inflammatoire (tendinite, pharyngite,…), vous êtes victime d’une agression par la chaleur. Pour réguler cet excès et vous apaiser, vous serez alors exposé à une couleur qui aidera votre corps à produire du froid, déclenchant ainsi un mieux-être parfois simultané, en tout cas rapide.

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Gestion du stress
Gestion du stress

À l’heure où le stress et les gadgets électroniques affectent la vie de plus en plus de gens, des centaines de Québécois s’offrent des retraites dans le silence complet.
Au printemps et à l’automne, Sarah Désilets-Rousseau, 29 ans, s’en va en retraite pour une cure de silence à Nicolet. Elle n’est pas la seule. Entre 700 et 800 personnes font comme elle chaque année, au Centre de prière des sœurs de L’Assomption.
«Oui, ça fait peur, c’est épeurant, 48 heures de silence. Tu n’as pas de iPhone, pas de télé, pas d’écran. Mais après 48 heures, le stress n’est plus là. Tu es zen.»
Elle n’y va pas pour prier, mais pour tout arrêter. Elle apporte un cahier pour écrire ses pensées.
«Je fais vraiment un bilan de ma vie. Où je veux aller? Je me projette où dans l’avenir? Est-ce que je suis heureuse? Après ça, je peux aligner mes flûtes.»
La directrice du centre, sœur Marielle Baril, est consciente que beaucoup de gens ne sont pas dans une démarche religieuse catholique quand ils cognent à leur porte.
«C’est une réponse à un besoin grandissant chez bon nombre de personnes, de se retrouver dans le silence pour vivre un retrait bienfaisant de la vie trépidante du quotidien», dit-elle.

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