Gestion du stress
Gestion du stress

Peut-on lutter contre le stress en cultivant son optimisme ? Et comment faire ? L’optimisme est quelque chose qui n’est pas inné mais qui s’apprend, et surtout se cultive au quotidien. Comment faire ? Le plus simple : s’entourer de personnes optimistes, regarder comment elles se comportent et comment elles raisonnent et essayer de les imiter. De même, il est bon de fréquenter aussi, à dose modérée, des pessimistes qui risquent d’être très contagieux. Il faut s’organiser des activités plaisantes et des choses qui mettent de bonne humeur. Plus sérieusement, il est important de prendre conscience des façons que l’on a de raisonner dans diverses circonstances de la vie et d’essayer, à chaque fois que l’on repére des pensées négatives, de les contrebalancer par des pensées positives. C’est la base de ce qu’on appelle la thérapie cognitive, que l’on peut toujours suivre avec un spécialiste, qui permettra d’aller plus loin. Des études scientifique très sérieuses concluent que l’optimisme est le facteur le plus puissant, qui explique la longévité de la vie et la bonne santé physique. La grande majorité des centenaires sont de grands optimistes.

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gestion du stress
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Que représente un examen pour celui qui le passe ? Comment apprendre à maîtriser son stress ? Les réponses du psychiatre Patrick Légeron, auteur de Le stress, avec François Lelord et Christophe André

Que représente un examen pour celui qui le passe ?
Patrick Légeron : L’examen symbolise la première grande demande de reconnaissance sociale et académique à ses pairs. Nous nous construisons tous avec notre propre regard, mais aussi avec celui des autres. Et le diplôme concrétise le regard de la collectivité. Il marque l’entré dans la vie sociale, universitaire ou professionnelle. Il représente une sorte de passage initiatique à la vie adulte.

C’est pourquoi le stress est si important et si intimement lié à ces épreuves. Car le niveau de connaissances va être testé, mais également la personnalité du candidat. Cela est très vrai pour les oraux, souvent plus redoutés. Le mécanisme d’anxiété sociale est généré par la peur du jugement que l’on va recevoir. Lors d’une épreuve écrite, ce jugement est différé. Mais dans un oral, le face-à-face avec l’examinateur, la sensation d’être « en direct”, sans filet de protection, donnent à beaucoup le sentiment de vivre une situation de jugement terrible. Certains perdent leurs moyens, d’autres, au contraire, sont électrisés par cette notion de “danger”. C’est ainsi qu’agit le stress : à dose raisonnable, il rend plus efficace et plus performant. A dose trop importante, il paralyse.

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Gestion du stress
Gestion du stress

Le monde du travail reste l’une des sources de stress les plus importantes dans notre quotidien. Un collègue fatigant, des journées à rallonge et des dossiers impossibles à rendre à temps, il est capital de ne plus se laisser déborder par ces situations difficiles à supporter tous les jours. Il existe pourtant quelques méthodes faciles à mettre en place afin de ne plus subir toute cette pression au travail.

PENSEZ DE FAÇON PRAGMATIQUE POUR GÉRER SON STRESS AU TRAVAIL

Le stress au travail commence le plus souvent par une mauvaise gestion des tâches à accomplir : l’impression de se laisser déborder par la masse de travail est génératrice de pression qu’il est pourtant facile d’apprendre à maîtriser en mettant en place quelques aménagements.

Le premier conseil est de coucher sur papier les étapes qui vont vous mener à atteindre vos objectifs : plutôt que de noircir le tableau en imaginant que la masse de travail qui nous attend est insurmontable, vous risquez d’être soulagée en remarquant que la tâche qui vous incombe n’est pas si ardue que cela. Divisez les tâches en fonction de leur priorité, de leur niveau de difficulté et de la durée pour les accomplir afin de hiérarchiser votre temps de travail. Cet exercice est excellent pour regagner confiance en soi et en ses capacités.

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Stress et cancer
Stress et cancer

Cet article a été rédigé par Raïssa Blankoff, naturopathe à partir des travaux Pr David Spiegel, Directeur du centre « stress et santé », Université de Stanford, Etats-Unis.
Depuis 40 ans, le Professeur Spiegel se consacre à la recherche en psycho-neuroendocrinologie. Il a pu établir des liens entre la maladie et le stress, et a mis en évidence, dans de nombreuses études, le déclenchement par le stress d’une cascade de réactions sur d’autres systèmes du corps : hormonal, nerveux, métabolique, immunitaire… Il a notamment étudié les types et les niveaux de stress auxquels sont confrontés les patients atteints de cancer.

Il n’y a pas un stress, mais des stress
Le cancer ne génère pas un stress mais des stress. A l’annonce de la maladie, comment faire face ? Comment vivre avec un terroriste en soi ? Comment relativiser l’angoisse de la mort qui touche environ 50% des patients, alors que 50% meurent finalement d’autres maladies ? Comment supporter les changements familiaux, vestimentaires, comment trouver une place différente dans le même monde, comment manger, comment dormir ? La fin des traitements est également génératrice de stress : que se passera-t-il au moment de l’arrêt d’une chimiothérapie ? Lorsqu’on n’est plus pris en charge quotidiennement par le staff médical ? Quel est le risque de récidive ? Que faire avec la peur de l’isolement ? Chaque stade est susceptible de générer un stress propre. Le Professeur Spiegel montre à quel point ces stress ont des effets directs sur la maladie, autant que les traitements chimiques, et pourquoi il est indispensable de prendre en charge l’individu dans son ensemble et pas uniquement sa maladie, pour obtenir des résultats optimisés.

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gestion du stress
gestion du stress

Dossier à boucler, clients compliqués, équipe démotivée : les causes de stress sont nombreuses au travail. 4 techniques pour apprendre à déstresser.

Gestion du stress : apprendre à le reconnaître
Le problème n°1 avec la gestion du stress est qu’il faut d’abord se rendre compte de son état de stress avant de pouvoir y faire quelque chose. Quand nous nous sentons mal, dérangé, inquiet, en colère, ou déprimé, cela provient uniquement du fait que nous sommes en train de penser à ce que nous ne voulons pas ! Voici un puissant antidote pour détresser :

– Accepter son ressenti en se disant qu’il est un indicateur de ce que l’on ne veut pas !
– Faire quelque chose pour se sentir mieux tout de suite
– Refocaliser son attention sur ce que l’on veut
РAgir imm̩diatement dans la direction de ce but

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gestion du stress
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Bien respirer pour se détendre, c’est possible ! Zoom sur une méthode antistress éprouvée… et particulièrement simple.

Vous pensiez respirer par le ventre ? Peut-être… ou peut-être, comme une majorité de femmes, utilisez-vous la cage thoracique. Une respiration superficielle, qui permet certes de rentrer le ventre, mais pas de chasser le stress ! La respiration ventrale est pourtant la clé de voûte de toute relaxation réussie, pour un esprit zen dans un corps zen .

Les miracles antistress de la respiration ventrale

Votre respiration s’accélère ? Symptôme trop souvent ignoré, le souffle se saccade à mesure que s’intensifient les émotions : stress, colère, angoisse… Le cercle vicieux s’enclenche, le cÅ“ur suit le rythme et la crise de nerfs s’annonce. Contrôler votre respiration pourrait pourtant suffire à stopper la panique ! Également appelée respiration abdominale ou respiration de bébé, la technique n’est autre que celle spontanément utilisée par les nourrissons… En la pratiquant, vous vous concentrez sur votre souffle et chassez les pensées parasites. Elle empêche le cÅ“ur de s’emballer, oxygène votre cerveau et lui permet de reprendre le contrôle. Sans oublier qu’elle prodigue, au passage, un massage interne des plus efficaces contre les troubles intestinaux déclenchés par le stress.

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Gestion du stress thérapie
Gestion du stress
thérapie

LA RELAXATION : L’ALLIÉE DES STRESSÉES POUR BOOSTER LA CONFIANCE EN SOI !
Beaucoup de personnes ne savent pas affronter leurs angoisses. On est vite pris dans un cercle vicieux : le stress génère du stress. Pour remédier à ce problème, il faut apprendre à respirer. Le matin, on peut décider de se lever un peu plus tôt (10 à 15 minutes) pour prendre du temps pour soi et bien démarrer la journée. Par exemple, faire des exercices de relaxation. Assise, couchée ou debout, on pose la main sur le ventre, on inspire profondément par le nez, et on expire par la bouche. Respirer par le ventre permet de dégager les tensions et le stress. La méditation est également un excellent exercice pour les personnes angoissées. Pour les lève-tard, tout n’est pas perdu. Faire ces exercices dans la voiture ou les transports en commun est aussi bénéfique. On respire et on se détend, pas besoin de dramatiser au premier événement qui survient. Un seul objectif : avoir confiance en soi !

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Méditation pleine conscience à Namur

Cette nouvelle discipline n’a jamais fait autant d’adeptes. Réponse au stress de la vie moderne, elle participe aussi à une quête de sens. Rencontre avec ceux qui l’expérimentent au quotidien.

Comment s’y mettre?

Des cycles de formation standardisés et validés de huit semaines (à raison d’une séance de groupe hebdomadaire) se donnent un peu partout en Belgique. On distingue les cycles MBSR (Réduction du stress basé sur la pleine conscience) et les cycles MBCT (Thérapie cognitive basée sur la pleine conscience).

 

Et les plus jeunes?

On peut pratiquer la pleine conscience dès 8 ans. Comme récemment à l’école primaire Sainte-Lutgarde à Lasne, certaines écoles commencent à introduire la méditation dans leurs classes. Souvent précurseur, le Canada le préconise dans le cursus scolaire. À lire aussi : La Pleine Conscience chez l’enfant et l’adolescent, Sandrine Deplus et Magali Lahaye, éditions Mardaga, 2015. Calme et attentif comme une grenouille, Eline Snel, Les Arènes, 2012 (livre-CD pour les 5-12 ans).

Nouvelles technologies, organisation du travail, culte de la performance, gestion complexe de la vie privée : nul n’ignore les causes du stress de la vie moderne. Pour trouver l’équilibre, il reste donc les prédispositions personnelles (un patrimoine génétique de Bouddha)… et la méditation (qui pourrait vous aider à lui ressembler, à Bouddha). La pleine conscience s’adresse à tout le monde et non plus seulement à quelques illuminés en sandales de retour d’un voyage en Inde… même si j’aime beaucoup l’Inde et les sandales !, plaisante Caroline Jacob, ostéopathe, formatrice en pleine conscience et membre du réseau Émergences parrainé par Matthieu Ricard.

Des preuves scientifiques
Quand j’ai commencé à faire du yoga à l’adolescence, ce genre de pratique était encore très taboue, explique celle qui s’y est intéressée très tôt pour gérer son tempérament hyperactif. Ce qui a changé en vingt ans ? La multiplication des études scientifiques validant ces pratiques. Dans les années 70, le médecin américain Jon Kabat-Zinn, précurseur de la version laïque de la pleine conscience, utilisait déjà cette méthode pour traiter le stress ou la dépression de ses patients.

Il est démontré aujourd’hui que la discipline, pratiquée à un certain degré d’assiduité, permet d’augmenter la production d’anticorps. Elle aurait aussi un impact sur la télomérase – une enzyme qui protège les télomères, ces « capuchons » des chromosomes – et préviendrait donc le vieillissement cellulaire. Les bienfaits de la pleine conscience sur la prévention des rechutes dépressives mais aussi sur les addictions, les troubles anxieux ou certaines maladies chroniques comme le psoriasis sont eux aussi de plus en plus documentés.

D’un point de vue cognitif, des études ont montré que le méditant parvenait à maintenir bien plus longtemps son attention sur des tâches simples que le volontaire lambda, qui se fourvoie « bêtement » à mesure que le temps passe et que sa concentration décroît. Biensûr, ces effets ne sont souvent obtenus qu’à raison d’une pratique régulière ou intense. L’ancienneté du méditant est d’ailleurs déterminante : plus vous avez d’heures de méditation à votre actif, plus votre cerveau fonctionnera différemment. Mais les premiers résultats peuvent néanmoins apparaître rapidement : l’imagerie cérébrale montre ainsi que la taille de l’amygdale, l’aire du cerveau qui traite la peur et la colère, se réduit physiquement après seulement quatre semaines de méditation, à raison de 30 minutes par jour.

Vivre en conscience
Définie comme une forme de méditation ouverte et non focalisée, la pleine conscience suppose une qualité de présence et d’attention à l’instant. Loin de chercher à faire « le vide », elle entend observer le flux de la pensée sans se laisser entraîner par lui. La pleine conscience permet de se tenir à l’écart des ruminations négatives, raconte Caroline Jacob. À côté de la pratique formelle – en général 30 minutes par jour –, les aspects « informels » de la pleine conscience interviennent tout au long de la journée. On apprend à ne rien faire ou en tout cas à ne faire qu’une seule chose à la fois.

Mais aussi à accepter les situations qu’on ne peut pas changer, plutôt que de se battre contre des moulins à vent. Je devais prendre l’avion juste après les attentats de Bruxelles. Pour revenir de Corse, j’ai finalement dû prendre quatre vols différents. Avant, cela m’aurait rendue folle. Je serais allée poser des questions partout, j’aurais rué dans les brancards. Là, ça ne m’a posé aucun problème, explique par exemple Marianne, 50 ans, qui pratique la pleine conscience depuis deux ans. Bien sûr, le changement ne s’opère jamais par magie : comme toute solution véritable, elle exige investissement personnel et discipline.

Beaucoup de gens viennent me voir en disant : Mes enfants ont 18 ans, je ne les ai pas vus grandir, je cours partout, tout le temps, mais pourquoi ? Au-delà de la question de la santé et de la qualité de vie, il y a une quête de sens. L’idée est de devenir plus conscient de sa propre vie et non de la traverser comme un zombie ou une poule sans tête, explique encore Caroline Jacob. Une tête consciente sur des épaules détendues, c’est déjà le début de l’équilibre…

Lire la suite (article du Soir.be)

Crystaluz est un centre de relaxation Namur. La relaxation est basée sur l’aqua-thérapie et les thérapies vibratoires (chroma- & sono-thérapies). La relaxation thérapeutique libère  les tensions qui bloquent la circulation l’énergie afin de rétablir un état optimum de bien-être.

La conscience quantique et l’expérience Akashique d’Ervin Laszlo
avec Ervin Laszlo, Maria Sagy K.Korotkov, Stéphane Cardinaux, Catherine Ana maé, Patrick Drouot, Guy Londechamp et Gyorgyi Szabo